Compétences vs. appétences ?

Le recrutement par les appétences, une innovation managériale pour lutter contre la pénurie de candidats” : c’est le titre d’un article passionnant paru dans Forbes et qui suscitera sans doute du débat.

Dans cette période de pénurie de candidats, les entreprises sont invitées à s’ouvrir à de nouvelles approches en privilégiant l’aimer-faire (l’appétence) bien avant le savoir-faire (la compétence) dans leurs critères de recrutement.
Une remise en question d’usages bien ancrés (y compris dès l’orientation scolaire) qui éludent la première source de l’engagement, de l’efficacité, de la motivation et du succès : le plaisir !
Car savoir faire quelque chose, et même très bien le faire, ne veut pas dire forcément qu’on aime le faire.

Bien-être et plaisir sont deux ressentis qui favorisent l’épanouissement au travail. La neuroscience a d’ailleurs démontré comment la dopamine sécrétée par la mobilisation des appétences a un effet sur de nombreuses fonctions cognitives, telles que la mémorisation et l’apprentissage : « Lorsqu’une personne exerce une activité plaisante, elle apprend plus vite et surtout, a un niveau d’engagement et de motivation plus élevé et durable. »

Aujourd’hui, pensez-vous éprouver du plaisir dans les tâches et activités que vous menez dans votre travail ? A quand remonte votre dernière décharge de dopamine au bureau ?

En recherche du job ou de l’environnement professionnel dans lequel vous vous sentirez mieux, compétent, à votre place, engagé ?
Réaliser un bilan de compétences… et d’appétences peut vous y aider.

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Mon agenda vous est ouvert pour répondre à vos questions !


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